La question récurrente au cours de mes animations et rencontres ces dernières semaines a été : « comment gérer côté repas ? ». Repas au pluriel bien sûr : le réveillon chez moi, le réveillon chez belle-maman, le réveillon avec les collègues, le jour de Noël, le 31… pour enchaîner avec la galette ! Et nos estomacs de se rappeler la légère indigestion des années passées (plus ou moins légère d’ailleurs !).
A Noël et durant les fêtes, nourrir notre coeur (émotions), notre tête (symboles) et nos sens (miam les bonnes choses !!) sont des priorités légitimes, des besoins fondamentaux.
Posez-vous la question et observez : qu’est-ce qui est vraiment important pour vous durant les repas de fêtes, et absolument inaliénable ?
Certains mets particuliers sans lesquels Noël ne serait pas « Noël » ? Et peut-être d’autres qui finalement ne sont pas si importants et dont vous pourriez aisément vous passer ?…
Prenez conscience de ce qui n’est pas négociable pour votre bien-être, et de ce qui au contraire viendrait en trop…
Accueillez le fait que manger des mets d’exception soit peut-être important pour vous et que dépasser votre rassasiement puisse être dans la justesse à ce moment-là, alors que manger par automatisme des mets qui ne vous apportent rien sur le plan du plaisir ou de ce qu’ils représentent sont peut-être les éléments à négocier justement…
Puis, les jours suivants, observez la ronde de vos envies : l’évolution de votre plaisir à manger les restes des repas festifs, le type d’aliments vers lesquels vos envies vous orientent naturellement… Tout ceci ne se régule-t-il pas tout seul ?
Je vous souhaite des fêtes de fin d’année savoureuses, parfaitement à votre goût !